Flash n°348 - Février 2002
Prochaines réunions :
			
			Les dimanches 17 février et 3 
			
			mars 
			2002
			De 9 h 30 à 11 h 30. – Local : Centre Culturel, rue J.Hans, 4
			
			Madame Jean - Marie Frenay, ses enfants et petits enfants tiennent à 
			remercier tout spécialement tous les membres du Club Philatélique 
			Brainois pour leur présence, pour les belles fleurs offertes, mais 
			surtout pour toute l'affection que mon époux tant 
			aimé a reçue de vous tous.
			
			
			                                                                       
			
			
			Très sincèrement
			
			En direct du Secrétariat
			
			
			Le " BEF " a vécu !
			
			
			Sur nos timbres-poste, il a pris fin avec Tintin ( Timbre et 
			bloc-feuillet ) le 31 décembre 2001, cette pré-vente a recueilli un 
			succès considérable, si l'on en croit la délégation brainoise qui 
			s'est rendue à Malines ce jour là. ( +/- 3 heures de file avant 
			d'être servi ! )
			L'Euro a fait son entrée plus sereinement le 1er janvier 2002 sur 
			les 2 timbres Albert II. Ce passage à l' Euro ( € ) pose pas mal de 
			questions à nos philatélistes.
			
			Bourse philatélique 2002.
			
			
			Le Club se montre optimiste et organise le 6 avril 2002 une 
			bourse à Ophain ( salle communale ), les membres en règle de 
			cotisation peuvent disposer gratuitement d'un emplacement pour 
			autant qu'ils en fassent la demande au secrétariat le plus vite 
			possible. Nous espérons que cette bourse permettra à chacun 
			d'entre-nous de réaliser d'excellentes opérations et que la 
			philatélie brainoise sera une fois de plus mise à l'honneur dans le 
			Brabant.
			
			Des informations complémentaires paraîtront dans nos prochains 
			Flash.
			
			JEUX – CONCOURS
			
			
			Réponses à la troisième épreuve. 
			(Flash 346)
			
			
			346.1   
			
			Les termes philatéliques suivants se trouvaient dans la grille 
			proposée :
			Prévente - Vente - Philatélie - Philatelies - Poste - Poster - 
			Ovale - Emission  
			-Emissions - Pince - Bloc - Affranchir - Affranchirs - Franc - 
			Album - Carnet - Oblitere - Obliterer - Loupe - Valeur
			
			Seniors :
			
			
			346.2   Il s’agit de 
			Hubert Frère Orban, il fonda en 1850 la Banque Nationale de
			    Belgique et en 1860 le 
			Crédit Communal de Belgique.Timbres 
			n° 1781 et 1159/1162.
			346.3   Il s’agit d' 
			un pneu éclaté, est représenté sur le timbre 1255 V1
			
			Juniors :
			
			
			346.2   Il s’agit de 
			Vincent Van Gogh – Timbre n° 1725
			346.3   Il s’agit de 
			Guillaume de Nassau – Timbre n° 1824
			
			Résultats de la troisième épreuve 2002.
			
			
			Ont obtenu :
			           
			Seniors           
			Juniors
			Bourgeois M.  
			28       
			points   ( 
			87 )   26 points :      
			Verhelle Iris  ( 
			66 )
			
			
			Cornet H.        
			28       
			„          
			( 87 )              
			22 "     
			Verhelle M.  
			( 62 )
			Cotton L .       
			27       
			“          
			( 86 )              
			  0 "     
			La Roche M. ( 40 )
			
			
			Flamand Ch.   21       
			‘’          
			( 75 )
			Cotton W.       
			27       
			‘’          
			( 77 )
			Lambert M.     
			27       
			‘’          
			( 75 )
			Pays M.          
			27       
			‘’          
			( 75 )
			Aeck R.          
			27       
			"          
			( 74 )
			Catteuw R.     
			26       
			‘’          
			( 73 )
			Lambert C.     
			28       
			‘’          
			( 69 )
			
			JEU-CONCOURS – Epreuve 5 / 2002
			Seniors - 3 x 10 points
			348.1   Mon 
			œuvre se trouve dans le musée d'Israël. Quelle est cette œuvre ? et 
			sur quel timbre - poste est-elle représentée ?
			
			
			348.2   Mon oeuvre 
			s'appelle " La Résignation ", qui suis-je ? et sur quel timbre-poste 
			est-elle représentée ?
			348.3   Un de mes 
			homonymes était un conteur de fables et moi, je suis décédé, il y a 
			59 ans. Qui suis-je ? et sur quel timbre-poste suis-je représenté ?
			Juniors - 3 x 10 points
			348.1   Cet 
			instrument se trouve dans une église à Bastogne. De quoi s'agit-il ? 
			et sur quel timbre-poste suis-je représenté ?
			348.2   J'étais 
			missionnaire chez les Pères Picpus. 
			
			Qui suis-je ? et sur quel timbre-poste suis-je représenté ?
			
			
			348.3   Nous sommes 
			un groupe de rock et représentés sur un timbre. 
			
			Lequel ? et qui sommes-nous ?
			
			Les réponses sont à remettre au plus tard le 3 mars 2002, lors de 
			notre réunion, ou à envoyer au Président :
			R. Duhamel
			Avenue des Erables, 14
			1420 Braine-l’Alleud
Lu pour vous ….
			
			
			Timbres Magazine – n° 19 – Décembre 2001
			
			- 
			Passion                    
			Noëls de guerre
			- Découverte             
			Hongkong ne dort jamais
			- Aérophilatélie           
			L’aventure Air Bleu
			- Histoire                   
			Nobel, un sujet explosif
			                                 
			L’île de Pâques
			                                 
			L’ A.P.N.U. souffle ses 50 bougies
			                                 
			Aramis – Croiseur français torpillé sous pavillon japonais
			- Curiosité                  
			L’affaire de la vignette de Valenciennes
			- Régionalisme            
			L’ Ain
			- Cartes postales        
			Les bons vœux de Robert Doisneau
			
			
			Timbres Magazine – n° 20 – Janvier 2002
			
			- 
			Passion                    
			Victor Hugo : l’histoire inédite de son 1er timbre
			- Histoire                    
			Un siècle de prix Nobel français
			                                  
			Reflets de la France des années 30
			                                  
			Indochine. De Lattre : une épopée indochinoise
			                                  
			Ex – colonies : Etonnants non émis de Madagascar
			                                  
			Hongrie : Qui veut collectionner des millions ?
			                                  
			Carte de renseignement de Croix – Rouge polonaise
			- Thématique              
			La paléontologie, mémoire de la Terre
			- Aérophilatélie            
			Le pilote du Négus
			- Régionalisme            
			La petite poste de Lyon
			- Cartes postales        
			Victor Hugo à l’honneur
VIENT DE 
			PARAÏTRE 
 
			
			
			Collect British Stamps 2002
			
			La 53e édition de ce qui est sans doute le catalogue le plus 
			populaire des Editions Stanley Gibbons vient d’être complètement 
			remaniée tant au niveau de la mise en page que de l’introduction de 
			la couleur pour toutes les reproductions. La teinte de fond en bleu 
			très clair, au lieu de gris, apporte un certain confort de lecture. 
			Ce catalogue simplifié de 184 pages sous reliure souple ( 194 x 164 
			mm) traite exclusivement des timbres britanniques des origines à nos 
			jours. Prix : 8 £ 50
			
			
			Les Vikings dans l’Atlantique
			
			
Il 
			est évident que la navigation est née dans les zones côtières et 
			dans les archipels où l’eau constitue un lien. Dans de telles 
			sociétés, le bateau est une nécessité. Ceci est aussi valable pour 
			les îles de l’ Atlantique Nord : les Shetland, les Féroé et l’ 
			Islande.
			
			La diversification de ces sociétés ‘’ au fil de l’eau ‘’, a 
			naturellement entraîné la conception de bateaux différents. Selon un 
			vieux dicton, ‘’ le Féroïen est né une rame à la main ‘’. 
			
			Dans l’archipel féroïen, situé dans le capricieux Atlantique Nord et 
			composé de 18 îles, le bateau a toujours été indispensable et 
			autrefois même vital. Le navire féroïen est spécialement conçu pour 
			son environnement : des montagnes coupées de détroits exigus avec un 
			vent inconstant.
			
			
			
			
Les 
			Sagas islandaises du début du Moyen Âge contiennent de nombreux 
			témoignages de voyages en mer. On y parle du temps et du vent, mais 
			peu de la navigation proprement dite. Nous savons que le compas 
			magnétique apparaît seulement au début du XIIIe siècle en Europe.
			
			Comment naviguait-on auparavant dans le Nord ? Les Vikings 
			remettaient leur départ dans l’attente d’une météo et de vents 
			propices. Ensuite, ils utilisaient toutes sortes de formations 
			naturelles pour se repérer : une île, une embouchure de fleuve, une 
			forêt, un arbre caractéristique … Ils étaient attentifs au passage 
			des oiseaux et des animaux de la mer. Ils observaient la teinte de 
			la mer et ses changements, la houle et les courants, les formations 
			de nuages – même les odeurs et les bruits pouvaient les aider.
			
			Un grand voyage en mer sans escale nécessite pourtant de la 
			navigation. Il fallait donc tenir le cap à l’aide des astres et des 
			points cardinaux. Les Vikings disposaient peut-être d’un compas de 
			relèvement. Grâce au soleil et à l’ombre projetée par un bâton sur 
			un   disque, il 
			était possible de mesurer la hauteur du soleil et de choisir un cap. 
			Un autre outil probable était une ‘’ pierre de soleil ‘’. C’était un 
			quartz noir qui réfractait les rayons du  
			soleil et permettait de connaître l’orientation du soleil, 
			même par temps voilé.
			
			Les Vikings, dans leur recherche d’informations précieuses, 
			excellaient dans l’art d’interpréter la nature. Nous avons 
			malheureusement perdu cette capacité dans notre société 
			technologique actuelle. La plus ancienne carte de l’ Atlantique Nord 
			est celle nommée ‘’ Skalholt ‘’, dressée en 1590 par 
			l’Islandais Sigurdur Stefansson. Elle montre l’Atlantique Nord avec 
			ses îles et ses archipels.
Il existe deux types principaux de bateaux vikings : le vaisseau long / bateau de guerre et le bateau de commerce, mais il y a évidemment des nuances. L’apparence d’un bateau a toujours reflété les ressources naturelles disponibles, les caprices de la mer sur laquelle il navigue – et les besoins, l’expérience et l’imagination de l’homme. Un bateau devient ainsi le produit d’une société, avec ses structures sociales et économiques, ses traditions, sa maîtrise technique, son sens esthétique et son développement.
			
			Le drakkar est un bateau à l’arrière pointu et à la proue pointée 
			vers le haut. L’avant et l’arrière sont d’ailleurs assez semblables. 
			C’est un bateau à voiles avec un assemblage à clins, un gouvernail 
			latéral, un mât et un gréement doté d’une voile en laine. Nous le 
			savons grâce aux découvertes d’Oseberg et de Gokstad en Norvège et 
			de Roskilde au Danemark, il y a même eu des découvertes en Suède.
			
			
Les 
			vaisseaux longs découverts 
			mesuraient de 16 à 36 mètres. Les plus grands pouvaient accueillir 
			un équipage d’environ 100 hommes, dont 78 rameurs.
			
			Les bateaux de commerce étaient plus rapides, avec leur équipage de 
			6 à 12 hommes. Les Vikings norvégiens qui faisaient route vers 
			l’ouest, comme par exemple le drakkar ‘’ Skuldelev ‘’ se 
			dirigeant vers les îles Féroé, apportaient également avec eux une 
			cargaison culturelle : leur langue et leurs traditions artisanales, 
			que nous pouvons apprécier aujourd’hui.
			
			Le drakkar a toujours été un objet d’attirance et de fascination. Sa 
			beauté a souvent été célébrée – et ses expéditions sont célèbres.
			
			FLASH – JUNIOR
			
			Collectionner des timbres-poste - Quelques aspects !
			
			MORPHOLOGIE DU TIMBRE - POSTE
			
			
Identifier 
			un timbre, c’est déterminer son pays d’origine, la date d’émission, 
			ce qu’il représente, s’il appartient à une série ; C’est donc savoir 
			lire les inscriptions qu’il porte, son dessin, sa monnaie, etc. Ce 
			n’est pas toujours facile. Mais l’expérience, la mémoire visuelle, 
			les catalogues, les conseils aident à vaincre ces difficultés.
			
			
			
			
			
			
Le 
			pays d’origine est le plus souvent inscrit sur le timbre. Avec 
			l’alphabet latin, pas de difficulté de lecture, mais il n’en va pas 
			de même avec les caractères asiatiques, arabes, cyrilliques, 
			hébreux, grecs, gaéliques, etc. Entre collectionneurs et en 
			consultant des ouvrages spécialisés, on doit pouvoir passer ces 
			obstacles. En Grande-Bretagne, seul le profil du souverain régnant 
			permet d’identifier le pays.
			
			
			
			

			
			FORME
			Bien qu’elles soient généralement rectangulaires, les vignettes 
			postales peuvent se rencontrer sous des formes géométriques les plus 
			diverses : carrée, triangulaire, hexagonale, trapézoïdale, ronde, 
			etc. Il y a des timbres dont la forme épouse les contours 
			géographiques du pays émetteur, des timbres en forme de banane, etc.
			
			NON DENTELéS ET DENTELES
			Les timbres se présentent non dentelés ou dentelés, selon leur mode 
			de débitage.
			Les non dentelés, ( il s’agit surtout des timbres anciens ) doivent 
			avoir leur image entourée de bords réguliers ( marge ) plus ou moins 
			larges selon la disposition des timbres dans la feuille.
			
			Les timbres 
			dentelés doivent avoir leur dentelure intacte et être bien centrés, 
			c’est-à-dire avoir leur image à
			égale
			distance des bords.
			NEUFS 
			OU OBLITERES
			Quant à leur état, les timbres-poste se collectionnent à l’état neuf 
			ou oblitéré, en ensembles ( paire, bande, blocs, etc.) ou sur 
			document.
			
			Aujourd’hui, pour conserver 
			toute leur valeur marchande, les timbres neufs doivent non seulement 
			être d’une grande 
			fraîcheur, mais en outre avoir leur gomme originale intacte, sans 
			trace de charnière. ( On peut épiloguer sur cette exigence, il n’en 
			reste pas moins que c’est la réalité du marché ).
			
			
			
			
			
			
			
			
			
			
			
			
			
			
			
			Les timbres oblitérés doivent avoir une oblitération nette, couvrant 
			tout ou partie du timbre, selon la nature de la collection ( 
			collection d’étude, spécialisée, marcophile, thématique ).
			Le timbre oblitéré idéal : bien dentelé, bien centré, une 
			oblitération lisible, centrale, droite et respectant l’effigie.
			

			
			Donner la préférence aux timbres où le regard n’est pas masqué.
			
			
			
			L’oblitération temporaire
			Un grand principe :
			
			RESPECTER LE PLI DANS SON ENTIèRETé
			
			Mai SI, sur le pli, il n'y a aucune autre marque postale ( soit 
			manuelle, soit mécanique ) que l'oblitération ET que celle-ci 
			est complètement lisible sur le timbre, l'on pourra, à la rigueur, 
			se permettre de décoller le timbre.
			
			Je pourrai me permettre, par exemple, de décoller ces deux timbres 
			de leur support s'il n'y a aucune  
			autre marque postale sur le document complet.
			
			Mais souvent l'oblitération porte, à la fois, sur le timbre et sur 
			le document. Dès lors, SI, sur le pli, il n'y a pas d'autre marque 
			postale, l'on pourra éventuellement découper un FRAGMENT.
En effet, il serait regrettable de décoller ces deux timbres car l'essentiel de la marque postale resterait dans le bac à eau et l'on perdrait définitivement un élément philatélique susceptible d'illustrer le thème.
			
			Conservons donc ce genre d'oblitérations sur des FRAGMENTS.
			
			Voici donc un exemple de fragment susceptible d'agrémenter une 
			collection thématique sur le football.
			
			Ces oblitérations sur fragment sont donc des éléments de choix pour 
			notre collection.
			
			 Ne les négligeons pas.
DOSSIER
Notice historique sur le Service des Paquebots de l’Etat Belge entre Ostende et Douvres.
			
			L’établissement de communications postales directes entre la 
			Belgique et l’Angleterre remonte au 8 avril 1815 ; mais l’on ne 
			possède pas de renseignements certains sur l’organisation de ce 
			premier service, qui s’effectuait au moyen de navires à voiles.
			
			Une convention, conclue le 6 octobre 1818 entre les Pays – Bas et 
			l’Angleterre, stipula qu’il y aurait deux communications par 
			semaine, tant de Harwich à Hellevoet-Sluys (Hollande) que de Douvres 
			à Ostende. La séparation de la Belgique et de la Hollande n’amena 
			aucun changement dans cette organisation, qui fut maintenue jusqu’à 
			la conclusion de la convention du 17 octobre 1834 entre la Belgique 
			et l’Angleterre, convention d’après laquelle, moyennant un subside 
			annuel de 1.000 livres sterling à payer par l’Administration belge, 
			le « Postmaster General » prenait à sa charge le transport, par mer, 
			du courrier, tant à l’aller qu’au retour.
			
			Mais ce fut lors de la mise en exploitation du chemin de fer Ostende 
			– Bruxelles, en 1838, que se révéla la nécessité d’établir entre la 
			Belgique et l’Angleterre un service régulier et plus rapide que 
			celui qui existait à cette époque et qui laissait à désirer. 
			Quelques navires du Gouvernement anglais assuraient seuls les 
			cmmunictions postales entre les deux pays ; quatre départs avaient 
			lieu hebdomadairement dans chaque sens entre Ostende et Douvres et 
			la traversée durait de cinq à sept heures.
La construction du chemin de fer Douvres – Londres, terminée en 1841, stimula davantage encore notre Gouvernement, qui désigna une commission chargée d’étudier l’organisation d’un service exclusivement belge de bateaux à vapeur.
Ce ne fut cependant qu’après le vote de la loi du 9 juillet 1845 que furent décidées la construction de navire à vapeur et l’organisation d’un service quotidien exploité par l’Etat belge, qui devait former le complèment indispensable de nos voies ferrées.
			
			En 1845, le premier bateau belge, qui devait servir de type, fut 
			commandé à une firme anglaise. Il fut baptisé ‘’ Le Chemin de fer 
			‘’, mais reçut plus tard le nom de ‘’ Diamant ’’.
			
			La Société Cockerill construisit les deux bateaux, le ‘’ Ville 
			d’Ostende ‘’ et le ‘’ Ville de Bruges ‘’, dénommés dans la suite ‘’ 
			Rubis ‘’ et ‘’ Topaze ‘’.
			
			Achevé en février 1846, le ‘’ Diamant ‘’ fut mis en ligne le 3 mars 
			suivant. Il fit régulièrement, à partir de cette date deux voyages 
			par semaine entre Ostende et Douvres. Durant cette année, il 
			transporta 4.548 passagers.
			
			Le ‘’ Ville d’Ostende ‘’, livré le 3 août 1847, entra en ligne le 23 
			du même mois. A dater de ce jour, le service devient journalier dans 
			les deux sens : les 2 bateaux belges font 6 traversées par semaine 
			et les bateaux anglais n’en font plus que 8. Le nombre de voyageurs 
			transportés en 1847 par nos deux steamers s’élève à 7.980.
			
			Le transit postal prenait également de l’extension ; aussi le 
			Gouvernement belge, pénétré de l’intérêt qu’offrait pour le pays 
			cette ligne directe de communication avec la Grande – Bretagne et la 
			nécessité de renoncer à l’intervention étrangère, s’attacha à 
			organiser un service exclusivement belge.
			
			Le ‘’ Ville de 
			Bruges ‘’, deuxième bateau commandé à la Société Cockerill, est 
			livré 
			à la fin de 1847 et prend la place du ‘’ Chemin de fer ‘’ qui 
			doit subir des travaux importants.
			
			Dès novembre 1848, l’Etat renforce sa flottille par l’Emeraude ; 
			les bateaux belges assurent 8 traversées par semaine et les 
			bateaux anglais 6.
			
			Les voyages s’effectuaient de nuit. Le service fut maintenu dans ces 
			conditions pendant plus d’une dizaine d’années au cours desquelles 
			l’ Amirauté anglaise confia à un société privée la partie du service 
			qui lui incombait. Mais à partir de 1858, cette société éprouva 
			d’assez graves difficultés dans l’exécution de son contrat, qui 
			expirait en 1863. Notre Gouvernement conçut, dès lors, le projet 
			d’assurer lui-même toutes les communications et d’établir, en outre, 
			un service de jour, afin notamment d’accélérer le transport des 
			correspondances postales.
			A 
			cette fin, la construction d’un cinquième bateau fut décidée et la 
			commande en fut passée à la Société Cockerill. Cette nouvelle unité 
			fut achevée en 1862 et reçut le nom de ‘’
			Belgique 
			‘’. Mais pour effectuer quatre traversées quotidiennes, une de jour 
			et une de nuit dans chaque sens, sept bateaux étaient 
			indispensables. Il fallut donc prendre provisoirement en location 
			deux steamers, le ‘’
			Scud ‘’ et 
			le ‘’ Princess 
			Clémentine ‘’, appartenant aux Compagnies anglaises London 
			Chatham et South Eastern Railways, qui furent remplacés l’année 
			suivante par le ‘’
			Queen of the 
			French ‘’ et le ‘’John 
			Penn ‘’, achetés aux mêmes Compagnies et qui prirent 
			respectivement les noms de ‘’
			Saphir ‘’ 
			et ‘’ Perle
			‘’.
			
			Il y avait donc, en 1863, pour assurer deux services journaliers 
			dans chaque sens, sept navires en ligne. Les débuts de la ligne 
			Ostende – Douvres furent pénibles et, pendant près de 20 ans, les 
			progrès assez lents ; mais à partir de 1866, la situation s’améliore 
			rapidement ; la période de difficultés a pris fin et le Gouvernement 
			n’hésite pas à aller résolument de l’avant.
			
			Le moment était arrivé où le matériel flottant, démodé et 
			insuffisant, devait être complètement renouvelé.
			
			Sept bateaux, plus grands et plus rapides, furent successivement 
			commandés à la Société Cockerill. Ce fut d’abord le ‘’
			Louise – Marie
			‘’, achevé en 1867 et qui servit de type pour les six autres 
			navires construits à la même époque.
			
			Pour la période de 1873 à 1881, aucun fait important n’est à 
			signaler. Cependant, des lignes concurrentes s’étant établies, le 
			service belge était exposé à péricliter et de nouveaux sacrifices 
			s’imposaient pour assurer plus de rapidité aux communications et 
			plus de confort aux voyageurs.
			
			En 1862, l’organisation commerciale du service fut remaniée et les 
			tarifs de transport furent réduits.
			( 
			à suivre … )
			Autriche  
			- Programme 2002
			
			Janvier    
			5 val    
			Vacances en Autriche
			                
			1 bf   
			L’arrivée de l’Euro en tant que monnaie courante
			Février    
			1 val    
			Les Jeux Olympiques d’hiver 2002
			               
			1 val    
			Bouquet de fleurs
			Mars       
			1 val    
			‘ Philis ‘ – 1ère valeur
			               
			1 val    
			Journée de la femme
			Avril        
			1 val    
			‘ Philis ‘ – 2ème valeur
			               
			1 val    
			Love – amour
			               
			1 val    
			Le 125ème anniversaire de la naissance d’Alfred Kubin
			Mai          
			1 val    
			Europa 2002
			               
			1 val    
			Mimi
			               
			1 val    
			‘ Philis ‘ – 3ème valeur
			               
			1 val    
			Les 800 ans du monastère de Lilienfeld ( Basse-Autriche)
			                
			1 bf    
			Journée du Timbre
			Juin          
			1 bf    
			Les 250 ans du Jardin zoologique de Schönbrunn (Vienne)
			               
			4 val    
			Idem
			               
			1 val    
			Nounours
			               
			1 val    
			Design Austria – 1ère valeur
			               
			1 val    
			Artisanat à l’ancienne ‘ Coupe de verre ‘
			Septembre 1 val  
			Festival d’art et de musique électroniques
			               
			1 val    
			Le nouveau musée d’art contemporain de Vienne
			               
			1 val    
			Voiture ancienne
			               
			1 val    
			Motocycles ‘ Puch 125 ‘
			               
			1 val    
			Clown Docteurs
			Octobre    1 
			val    Animaux 
			domestiques ‘ Le chien ‘
			               
			1 val    
			L’art contemporain en Autriche – 28ème valeur
			               
			1 val    
			Chemins de fer – 1ère valeur
			               
			1 val    
			La réserve naturelle nationale Thayatal
			Novembre 1 val   
			Design Austria – 2ème valeur
			               
			1 val    
			Caritas
			               
			1 val    
			Les Autrichiens vivant à l’étranger
			               
			1 val    
			Noël.
			NB : Le programme est sujet à modification et à adjonction.   
			
			
			NATIONS UNIES  - 
			Programme 2002
			
			1er 
			Mars                              Série 
			ordinaire et entiers postaux ( série de janvier reportée )
			4 avril                                  Espèces 
			menacées d’extinction
			24 mai                                Année 
			internationale de la montagne
			27 juin                                ONUSIDA
			30 août                               Patrimoine 
			mondial – Italie
			Septembre                          Sommet 
			Planète terre + 10
			7 novembre                        Voeux
			
			REALISATIONS INTER-MEMBRES et l’EURO (€)
			
			Nouvelles directives avec le passage à l’EURO 
			-  Ventes aux 
			enchères.
			- Tout lot dont le prix de départ, calculé sur base de la cote 
			catalogue à maximum soit +/- 40 % 
			qui n’atteint pas 1 EURO n’est pas admis à la vente.
			-  Les surenchères 
			seront dorénavant les suivantes :
			           
			de 1 € à 10 €              
			=         
			0,25 €
			           
			+ de 10 € à 25 €         
			=         
			0,50 €
			           
			+ de 25 € à 50 €         
			=         
			1,00 €
			           
			+ de 50 € à 100 €       
			=         
			2,00 €
			           
			+ de 100 € à 250 €     
			=         
			5,00 €
			           
			+ de 250 €      
			=         
			10,00 €
			Les vendeurs sont tenus de ne pas afficher des prix de départ dont 
			les CENTS sont autres que 0 et 5.
			           
			Exemples :     
			correct            
			= 1,60 €  -
			 1,75 € 
			-  8,30 €
			                       
			Incorrect         
			= 1,62 €  - 
			1,78 €  - 
			8,96 €
			           
			Les prix incorrect seront rectifiés d’office par le 
			Responsable des ventes.
			
			VENTES " DIRECTES " et aux " ENCHÈRES 
			"
			Les lots invendus à ce jour, présentés par nos membres seront dès la 
			prochaine réunion, soit le 17 février 2002, remis à ceux-ci pour 
			conversion des cotes et prix en EURO mais aussi pour modification 
			éventuelle des prix de départ compte tenu d’un marché " vendeur ".
			
			RÉALISATION INTER - CERCLES DE L’AMICALE DES CERCLES DU BRABANT 
			WALLON
			Les membres qui désirent présenter des lots pour cette manifestation 
			sont priés de retirer les documents ad hoc auprès du service 
			matériel.
			La date de remise des lots vous sera communiquée prochainement.
				
				
				Les articles ci-dessus peuvent 
				être reproduits avec mention de la source et avis favorable du 
				Club Philatélique Brainois. Envoyer une copie de la publication 
				au président.